Semaine du 27.01 au 31.01

Un étudiant est intervenu pendant une des séances de cette semaine afin de nous présenter son parcours scolaire. Nous avons écouté, pris des notes et posé des questions sur l'orientation et d'autres domaines.

Voici ce que nous avons retenue de la présentation de Jacques Renaud, étudiant en 2ème année de biologie et résidant en Kaps, les colocations solidaires de l'AFEV :

A la sortie du collège, il avait l’intention de faire des études en biologie car ce domaine l’intéressait et il s’est donc orienté vers un lycée général pour préparer un baccalauréat scientifique. Durant ses années passées au lycée, il avait entendu parler des écoles d’ingénieurs, qui sont accessibles après deux ans d’études en classe préparatoire à l’issue de laquelle on passe un concours pour intégrer une école, ou directement après le bac en suivant une classe appelée « prépa intégrée » au sein de l’école d’ingénieurs, également durant deux ans. Les contraintes de travail des classes préparatoires classiques étant assez lourdes, il a donc fait une classe prépa intégrée dans une école d’ingénieurs à Clermont-Ferrand mais il s’est rendu compte que ceci ne l’intéressait pas, il a donc choisi de se réorienter vers un autre domaine. Sur les conseils de ses amis, il a entamé des études de médecine mais n’ayant pas réussi le concours de première année, appelée PACES, il est retourné à Nancy suivre des études de biologie, domaine qui lui plaît et dans lequel il est encore maintenant, en classe de 2e année.

Jacques nous a montré que l’orientation est un choix assez difficile et pas du tout évident, surtout quand on ne sait ce que l’on souhaite faire plus tard. Il nous a conseillé de choisir nos études en fonction de nos intérêts et du nombre d’années d’études que l’on est prêts à faire pour le métier que l’on envisage de faire plus tard.

Finalement, le plus important est de trouver un domaine qui nous plaît, de se renseigner sur les études à faire et les métiers qui peuvent y être associés. Il ne faut pas hésiter à s’intéresser à tout ce qui nous entoure pour découvrir des métiers auxquels on n’aurait pas forcément pensé et qui pourraient nous